Article paru dans La Dépêche du Midi du 30 avril 2011
Les rencontres autour des chefs d’entreprise, celles sur les thèmes du Salon du handicap et des objets roulants, constituaient une sorte d’état des lieux des pratiques. Le club entend voir plus loin désormais, tout en restant les pieds bien plantés sur terre, puisqu’il s’agit de se pencher sur le développement et les pratiques durables. « Une immersion dans le champ de l’innovation, au cœur d’une préoccupation sociétale, comme le dit Marie-Josée Aparicio, la présidente, un nouveau mode de pensée au cœur de nos entreprises et de nos vies. »
La présidente et ses amis se sont récemment retrouvés pour discuter des modalités de ce salon, qui aura lieu le 8 octobre à la salle polyvalente de Couiza, le club ayant vocation à se déplacer aux quatre coins de sa zone d’influence.
C’est sous la thématique « Entreprendre et transmettre » que l’ensemble des intervenants dans la filière des énergies renouvelables sont invités à se retrouver, à se rencontrer, à se reconnaître aussi afin de pouvoir échanger leurs expériences et les porter à l’attention du grand public.
Le pays à l’état brut regorge de ces richesses qui permettent de dégager les principales filières des énergies renouvelables (solaire, photovoltaïque, géothermie), du bois et de l’écoconstruction, de la gestion et le traitement de l’eau, du recyclage, de l’éducation à l’environnement, de l’édition, de la formation et du conseil en management, du tourisme (écotourisme, oenotourisme), de la biodiversité (protection de la faune et de la flore) de la création artistique au naturel (utilisation des matières naturelles, sensibilisation au recyclage des matières). On le voit, un salon à la mesure des défis qui se profilent, des changements dont personne ne veut être tenu à l’écart.
Jusqu’à présent, les actions du club Entreprendre se bornaient à mettre en valeur les acteurs de la vie économique en Limouxin et haute vallée, dans la pratique de leurs rôles, le développement de leurs spécificités. Le dernier forum des associations a mis en lumière le véritable maillage socioculturel propre à notre secteur.
Source : La Dépêche du Midi du 30 avril 2011